Pour finir cet été qui n'en finit pas ,cet été en pente raide , nous sommes allés traîner nos guêtres sur le Canigou .

1718 metres , refuge de MARIAILLES , nous empruntons le GR10 en direction du col vert

8 heures du matin , le soleil naissant ne réchauffe pas encore nos vieux os

Il eclaire les montagnes environnantes mais pas le font de vallée que nous arpentons.

Ici l'ombre et encore reine .

nous atteignons rapidement le col vert
Ainsi que les 2000 métres

En suite ce presente à nous le refuge de l'Arago .
Le soleil nous rattrape , enfin !

Nous voici face à notre but , le Canigou et sa cheminée

Avant de l'atteindre , nous allons user nos chaussures dans le grand pierrier qui s'étale sous le sommet

Si c'est au pied du mur que l'on voit le maçon , c'est au pied de la cheminée que l'on voit le montagnard . Impressionnante mais facile . Cest un supplice pour les personnes qui ont le
vertige

Le sommet est atteint , c'est foule des dimanches .

La grand messe quoi ! 

Aneto , le retour

Il ne nous reste plus qu'à redescendre.

Le retour ne se fera pas par le même chemin.cela nous permettra d'éviter les gros rochers .

Nous passerons par de vaste dalles érodés par l'ancien glacier

Nous longerons de beaux torrents nés dans les glaces éternelles qui alimentent le trou du toro , immense dépression qui récupères les eaux froide des glacier du massif de la maladeta

une des source de la Garonne .

le trou du toro

FIN

Aneto , la suite de la suite

les premiers névés atteint,il nous faut chausser les crampons.La trace est bien faite ,il passe près de deux cents personnes par jour en plaine saison .la marche en devient plus facile . le souffle est court car nous sommes à 3000 mètre d'altitude .

Cette  forte côte de neige nous mène au pas de Maomet 3390 mètres

Il ne nous reste plus que ce dernier tronçon de crête étroite et aérienne de quarante mètres de long pour atteindre l'arête sommitale du pic de l'Aneto 3404 mètre